dimanche 27 mars 2011

Le plus gros porteur Fret au monde Antonov An 225


Voici le plus gros porteur de fret au monde un antonov an225 pris en photo ici au depart de l'aeroport de Chateauroux Deols. Celui ci decolle pour le Japon charge de materiel de secours en tout genre ainsi que de denrées alimentaires.merci a airactu87 et a mr Fabrice CHATAIN pour cette magnifique (1)photo de ce geant des airs comportant 6 moteurs . Un avion-cargo Antonov 225 affrété par la France avec à son bord près de 150 tonnes d'aide d'urgence pour le Japon, a décollé mardi e début d'après-midi de l'aéroport de Chateauroux (Indre), selon un correspondant de l'AFP sur place.

L'appareil a décollé peu après 14 heures. Il fera trois escales.Il est attendu vendredi (25 mars) dans le nord-est du Japon, une zone dévastée par un séisme et un tsunami qui ont également endommagé une centrale nucléaire. Notre équipe de reportage a assisté cette nuit au chargement de l'Antonov.Pour voir la vidéo, cliquez sur la vignette à gaucheUne partie de la cargaison est composée de conserves, de lait en poudre, de lait pour bébé, de 150.000 bouteilles d'eau ainsi que des médicaments, des masques de protection et des produits d'hygiène corporelle.L'autre partie est composée de matériel utilisé dans les situations de crise nucléaire : dosimètres, radiomètres, contaminomètres, des masques, une remorque de contrôle atmosphérique et un camion de mesures des conditions environnementales.La cargaison devait initialement comporter des robots spécialisés pour les interventions sur des accidents nucléaires, équipés de chenilles, de caméras vidéo et de bras manipulateurs.Mais à la demande des Japonais, ces robots, mis au point par le groupe Intra à la centrale nucléaire française de Chinon (Indre-et-Loire), resteront dans les hangars de l'aéroport de Châteauroux, dans l'attente d'une éventuelle requête ultérieure.



samedi 26 mars 2011

A340-300 (F-WWAI)


Cet A340-300 (F-WWAI) est venu de Toulouse, spécialement pour faire un petit coucou... 2 petits tours et puis s'en vont...

Merci au photographe pour cette sublime photo de cet airbus a340...

mercredi 23 mars 2011

Taille XL

voici un magnifique boeing 737 800 de passage a Limoges Bellegarde ....
Merci a monsieur Alain Fradet pour ces magnifiques photos....


dimanche 13 mars 2011

Alerte a l'aeroport de Bellegarde


Un incident de vol a eu lieu mercredi matin 9 mars a 3h40 sur l'avion de type fokker 27 de l'aeropostale effectuant la liaison Clermont Limoges. Celui ci n'arrivait pas a sortir ces trains d'atterissage. Des pompiers et des policiers ont etes mobilisés en nombre autour des pistes.Finalement l'appareil a put se poser sans aucun problemes.

Fokker 27 de l'aeropostale

samedi 12 mars 2011

quelques chateaux pris en photos en revenant de Brive


Voici quelques chateaux pris en photos en revenant de Brive avec notement le chateaux de Hotefort, de Montbrun,de Jumilhac Legrand....







La nuit tombe sur bellegarde ........tout le monde au lit ...

la nuit tombe sur l'aeroport de (LFBL) il n'y a presque plus d'activitée exepté pour le fokker 27 de l'aéropostale qui lui va bientot decoller!!!


un tres jolie piper a l'aeroport de brive vallée de la dordogne




samedi 5 mars 2011

Falcon 7x

voici un tres joli falcon 7X:

Fokker 27 de l'Aeropostale

voici le Fokker 27 basé a Limoges pour acheminer le courrier de nuit:

Fennec de l'armée de l'air a Limoges Bellegarde

Voici un helicoptere de l'armée de l'air venue spécialement de villacoublay pour participer aux recherches sur la zone maintenant definit comme top secrete ou s'est crashé le mirage 2000 de l'armée de l'air .Il s'agit d'un as350 bi turbine aussi apelle Fennec. Leur utilisation est surtout sur Paris et la capitale car il y a habituellement un tireur d'elite a l'arriere ou alors ils servent egalement pour les recherches ou bien encore les bulles de protection lors par exemple du rassemblement des chefs d'etats comme il y a eut a Nice.

mercredi 2 mars 2011

Plus d'informations sur le crash du mirage 2000

MISE A JOUR - Les riverains témoignent après le crash d'un Mirage 2000, hier soir, à Saint-Oradoux. Les deux pilotes de l'avion n'ont toujours pas été retrouvés.

L'épave du Mirage 2000 de la base aérienne 116 de Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône) disparu depuis mardi soir des radars au-dessus de la Creuse avec à son bord un pilote et un navigateur, a été retrouvée dans la matinée. Le pilote est un capitaine âgé de 30 ans, le copilote est un lieutenant du même âge.

« L'épave de ce Mirage 2000 a été localisée sur la commune de Saint-Oradoux-près-Crocq au lieu-dit Le Mouneix », précise dans un communiqué la préfecture de la Creuse, indiquant avoir « déclenché le plan Sater (NDLR: Sauvetage aéro-terrestre) et coordonné, durant la nuit, les opérations de recherches ».

« Les pilotes n'ont pas donné signe de vie depuis hier soir » et « aucun écho de balise" n'a été capté "pour l'instant », indique le préfet Claude Serra.

Selon le Colonel William Kurtz du SIRPA, "les pilotes n'ont pas eu le temps de lancer un may-day ni de signaler une quelconque avarie. Pour ce genre de vol d'entraînement, le plus grand silence radio est de mise, les pilotes ne répondant qu'à des "checks" de vérifications ou pour recevoir ou donner des ordres ou signaler un incident ce que n'ont pas fait ces pilotes". Cet absence d'appel aux secours pourraient témoigner de la violence de l'accident qui les auraient surpris avant qu'ils ne puissent réagir.

L'appareil est tombé près d'un étang et, « en heurtant le sol, a fait un énorme cratère qui s'est rempli d'eau », compliquant les recherches près de l'appareil, a-t-il ajouté.

« Un périmètre de sécurité a été instauré sur les lieux de l'accident. La départementale 9 reliant les communes de Crocq et La Villetelle a été fermée pour faciliter les recherches. Une déviation a été mise en place », selon le communiqué de la préfecture.

« Les recherches sont en cours », explique le commandant Eric Trihoreau, chef du département médias du Sirpa (service d'informations et de relations publiques des armées) Air, évoquant des conditions météorologiques "très défavorables" et un "très fort brouillard".

« Un hélicoptère de l'armée de l'air chargé des recherches a dû se poser », a-t-il ajouté. "Nous n'avons pas de nouvelles du pilote ni du navigateur qui sont activement recherchés », avait-il indiqué.

Les secours témoins d'un autre incident

Selon un communiqué du SIRPA Air, l'avion effectuait "une mission d'entraînement au vol de nuit très basse altitude ».

« L'alerte donnée, des recherches ont immédiatement été lancées par l'armée de l'air (hélicoptères Puma de la base aérienne de Cazaux et Fennec de la base aérienne de Villacoublay), par la gendarmerie et les pompiers de la Creuse, renforcés par des éléments de l'armée de terre », selon le communiqué.

45 gendarmes, 25 pompiers ainsi que des militaires du camp de La Courtine ont participé aux recherches interrompues entre 5 h 30 et 7 heures.

Sur un plan plus anecdotique, les hélicoptères dépêchés sur les lieux hier soir ont été témoins d'un autre incident : un incendie qui a éclaté dans une scierie de Felletin. Le sinistre a entièrement ravagé, entre 2 et 5 heures du matin, l'entreprise felletinoise.

« Un énorme souffle »

La rédaction a pu recueillir un certain nombre de témoignages des riverains de la zone de crash. madame Bellet se trouvait, en famille, à Banneix, mardi soir.

Ce village de la commune de La Villetelle, se trouve à quelques centaines de mètres de la zone du crash :

« On regardait la télévision quand on a senti un énorme souffle puis une déflagration. On a cru qu’un bâtiment s’était écroulé. On a eu très peur. On est sortis de la maison, mais on n’a rien vu. C’est ma soeur, en allant travailler ce matin, qui a vu des traces sur la route et a vu que l’eau de l’étang du Mouneix était marron. Elle a immédiatement appelé le maire. »

Jacques Boeuf, maire de La Villetelle, commune limitrophe de Saint-Oradoux ,a découvert l’avion à 8 heures du matin. Il l’a bien entendu passer , la veille : « Nous sommes habitués à entendre passer des avions militaires à basse altitude, entre 21 heures et 23 heures. J’ai senti qu’il y avait quelque chose d’anormal, parce que brusquement les feux se sont éteints ».

En revanche, Jacques Boeuf n’a pas entendu de déflagration : « J’étais à côté de mon tracteur qui tournait. »

Le maire de la Villetelle a eu la confirmation par la gendarmerie vers 23h40, qu’il s’agissait d’un accident.

« On m’a prévenu tôt ce matin, qu’il y avait des traces sur la route de Crocq. Je suis parti au lever du jour et j’ai vu des traces des débris sur la route . Je me suis engagé dans un pré que j’exploite et j’ai découvert des morceaux de parachute dans les arbres. L’avion s’est écrasé à la queue d’un petit étang d’environ 500 mètres carrés. Il s’est enfoncé profondément dans la boue sur plusieurs centaines de mètres d’une zone marécageuse. Ca formait comme un cratère, mais je n’ai pas vu l’avion. J’ai appelé immédiatement la gendarmerie et je ne me suis pas approché. »

Crash d'un mirage 2000 en Creuse

Les riverains témoignent après le crash d'un Mirage 2000, hier soir, à Saint-Oradoux. Les deux pilotes de l'avion n'ont toujours pas été retrouvés.

L'épave du Mirage 2000 de la base aérienne 116 de Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône) disparu depuis mardi soir des radars au-dessus de la Creuse avec à son bord un pilote et un navigateur, a été retrouvée dans la matinée.

« L'épave de ce Mirage 2000 a été localisée sur la commune de Saint-Oradoux-près-Crocq au lieu-dit Le Mouneix", précise dans un communiqué la préfecture de la Creuse, indiquant avoir "déclenché le plan Sater (NDLR: Sauvetage aéro-terrestre) et coordonné, durant la nuit, les opérations de recherches ».

« Les pilotes n'ont pas donné signe de vie depuis hier soir » et « aucun écho de balise" n'a été capté "pour l'instant », indique le préfet Claude Serra.

L'appareil est tombé près d'un étang et, « en heurtant le sol, a fait un énorme cratère qui s'est rempli d'eau », compliquant les recherches près de l'appareil, a-t-il ajouté.

« Un périmètre de sécurité a été instauré sur les lieux de l'accident. La départementale 9 reliant les communes de Crocq et La Villetelle a été fermée pour faciliter les recherches. Une déviation a été mise en place », selon le communiqué de la préfecture.

« Les recherches sont en cours », explique le commandant Eric Trihoreau, chef du département médias du Sirpa (service d'informations et de relations publiques des armées) Air, évoquant des conditions météorologiques "très défavorables" et un "très fort brouillard".

« Un hélicoptère de l'armée de l'air chargé des recherches a dû se poser », a-t-il ajouté. "Nous n'avons pas de nouvelles du pilote ni du navigateur qui sont activement recherchés », avait-il indiqué.

Selon un communiqué du SIRPA Air, l'avion effectuait "une mission d'entraînement au vol de nuit très basse altitude ».

« L'alerte donnée, des recherches ont immédiatement été lancées par l'armée de l'air (hélicoptères Puma de la base aérienne de Cazaux et Fennec de la base aérienne de Villacoublay), par la gendarmerie et les pompiers de la Creuse, renforcés par des éléments de l'armée de terre », selon le communiqué.

45 gendarmes, 25 pompiers ainsi que des militaires du camp de La Courtine ont participé aux recherches interrompues entre 5 h 30 et 7 heures.

« Un énorme souffle »

La rédaction a pu recueillir un certain nombre de témoignages des riverains de la zone de crash. Yvette Bellet se trouvait, en famille, à Banneix, mardi soir.

Ce village de la commune de La Villetelle, se trouve à quelques centaines de mètres de la zone du crash : « On regardait la télévision quand on a senti un énorme souffle puis une déflagration. On a cru qu’un bâtiment s’était écroulé. On a eu très peur. On est sortis de la maison, mais on n’a rien vu. C’est ma soeur, en allant travailler ce matin, qui a vu des traces sur la route et a vu que l’eau de l’étang du Mouneix était marron. Elle a immédiatement appelé le maire. »

Jacques Boeuf, maire de La Villetelle, commune limitrophe de Saint-Oradoux ,a découvert l’avion à 8 heures du matin. Il l’a bien entendu passer , la veille : « Nous sommes habitués à entendre passer des avions militaires à basse altitude, entre 21 heures et 23 heures. J’ai senti qu’il y avait quelque chose d’anormal, parce que brusquement les feux se sont éteints. En revanche, Jacques B?uf n’a pas entendu de déflagration : J’étais à côté de mon tracteur qui tournait. »

Le maire de la Villetelle a eu la confirmation par la gendarmerie vers 23h40, qu’il s’agissait d’un accident.

« On m’a prévenu tôt ce matin, qu’il y avait des traces sur la route de Crocq. Je suis parti au lever du jour et j’ai vu des traces des débris sur la route . Je me suis engagé dans un pré que j’exploite et j’ai découvert des morceaux de parachute dans les arbres. L’avion s’est écrasé à la queue d’un petit étang d’environ 500 mètres carrés. Il s’est enfoncé profondément dans la boue sur plusieurs centaines de mètres d’une zone marécageuse. Ca formait comme un cratère, mais je n’ai pas vu l’avion. J’ai appelé immédiatement la gendarmerie et je ne me suis pas approché. »

Source: La Montagne/Le Populaire